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Correspondance arabe
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رسائل Recueil d’exemples de correspondances (modèles de lettres) entre les dignitaires, ou entre le peuple et les dignitaires (rois, savants, saints etc.) en prose et en poésie. Premier modèle de lettre f.3 : رسالة للملوك (lettre aux rois). Deuxième modèle f.3v : رسالة لذوي الأقدار (lettre aux dignitaires). Troisième modèle f.4 : رسالة للعلماء العاملين (lettre aux savants). Quatrième modèle f.4v : رسالة للأولياء المتعبدين (lettre aux saints). Cinquième modèle f.5 : رسالة للأولياء أهل الصلاح Sixième modèle f.6 : رسالة للأحباء الأتقياء (lettre aux hommes pieux). Septième modèle f.6v : رسالة الصاحب للصاحب (lettre entre amis). Huitième modèle f.7 : رسالة السيد لمسترقه (lettre du maître à son serviteur). Neuvième modèle f.7v : رسالة المسترق لسيده (lettre du serviteur à son maître). Dixième modèle f.8 : رسالة الملك لرعيته (lettre du roi à ses sujets). Onzième modèle (poésie) f.8v : رسائل للنحات ؟ بالنظم لهم عز وقدر وحرم (lettres des grammairiens en vers).
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[انشا] Quelques feuillets de la même main que les MS.TURC.202 et sans doute MS.TURC148. Il s’agit d’un recueil de copies de lettres. Un premier cahier, dont subsistent les p. 21-28, contient des copies de pièces pour la plupart en arabe (et citées dans la table dont le début est conservé), des remerciements pour un cadeau, excuses, des lettres des moines du Liban, des pièces sur les affaires maronites. Elles concernent les activités du consulat de France de Tripoli le plus souvent. Le second cahier, incomplet, contient des pages 37-42, une lacune, des p. 45-6, une lacune, des p. 51-[2], une lacune et des p. [55-60]. Il renferme des pièces arabes, turques et persanes concernant Tripoli, Alep et le Liban, le drogman de France, etc. La date de 1775 apparaît à la fin de deux des documents (p. 46, 51), celle de 1754 p. 40. Ni le début ni la fin de ce manuscrit ne semblent conservés, à l’exception d’une double page non foliotée insérée en tête où se trouve le début de l’index, autographe, des lettres en arabe avec renvoi à la pagination. Il est tout à fait vraisemblable qu’il s’agisse d’un recueil, autographe, constitué par Etienne Antoine Matthieu Legrand (1724, ca. 1784), ancien premier drogman à Tripoli de Syrie. De la même main que ces cahiers, un feuillet coté A provient d’un recueil d’anecdotes en turc. Il contient l’histoire de la fille borgne, incomplète toutefois [ca. 1775].